René Louis DOYON [1885-1966] |
René-Louis Doyon est né à Blida René-Louis Doyon dit Le Mandarin est employé chez Eugène Figuière en 1913, avant d’ouvrir en 1917
une librairie, galerie de la Madeleine, qu’il transforme ensuite en maison
d’édition en 1918. Son premier livre paraît en février 1919. Après le déclin de son entreprise, Doyon vit difficilement, tout en publiant, seul, les Livrets du Mandarin. L’éditeur Robert Denoël paraît l’apprécier « Je rencontre parfois Doyon et nous parlons sur un ton amical », l’engage comme secrétaire général et rachète son fond en 1937. Leur
collaboration semble marcher puisque Denoël
parle de lui en termes
flatteurs : » R.L.D. [Doyon] est un collaborateur actif, gentil,
d’une intelligence, érudition, etc.... Il s’est bien installé et cela marche. »
Homme de grande culture, René Louis Doyon a laissé des biographies d’Isabelle Eberhardt, de Joséphine Péladan, de Jehan Rictus, des romans et des essais ainsi qu’un volume de souvenirs. Mémoire d’homme, souvenirs irréguliers
d’un écrivain qui ne l’est pas moins (La
Connaissance, 1953).
Doyon (René-Louis). L'Enfant prodigue. 1929 Doyon, René-Louis]. L'Horizon débridé. 1920
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