Blida
- Avenue de la gare Je me souviens : "Le marchand de légumes "MADI" qui avait une vieille charette tirée par un âne. Il passait le matin,avenue de la gare, et s'arrêtait au bord du trottoir environ tous les 100 mètres. Ma mère disait qu'il avait bien dressé son âne. En effet, lorsqu'il mettait un paquet sur la balance, l'âne bougeait en faisant pencher le plateau de celle-ci au désavantage des clients. "En cette période d'été, je me souviens du marchand de figues de barbarie qui s'arrêtait à la fontaine publique située devant notre maison. C'était 14 heures. Il bavardait fort et longtemps avec ses collègues, en arabe bien sûr. Mon père, pour qui la sieste était sacrée, se mettait en colère, sortait et lui criait, en arabe des injures. Notre cher marchand était dissuadé pendant 2 ou 3 jours et il recommençait. Cela durait toute la saison des figues de barbarie. Louise P. |
C'était sûrement le même qui passait dans notre cité Combredet .Il était grand et mince, plaisantait beaucoup et il appelait son âne "Francoeur". Paule S. Louise, je me souviens de Madi, car il passait aussi chemin du Marabout. Roland R. |