LES  ILLUSTRES  VISITEURS  DE  BLIDA

Des cartes postales de visiteurs célèbres

 

 

NAPOLEON   IIII  en 1865

Le Duc Alexis de Russie

est reçu à Blida

le, 12 Décembre 1868 

Le Gouverneur Général Laferriere en visite à Blida le 2/12/1899

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5034360c/f1.item

 

Le Président Loubet à BLIDA   en 1903 (I))

 

 

La visite du Président Loubet  (II)

Sortant du banquet des Amis Réunis, on voit le président Loubet avec à sa droite le maire de Blida, Mr A.Le Goff et à sa gauche en habit et haut de forme le gouverneur général REVOIL.

 

 

Le Duc de Connaught  le 25/1/1905

 

En 1905, le Roi Edouard VII d'Angleterre et la Reine Alexandra

Camille Saint SAENS

(1835-1921)

Camille Saint Saens est décédé le 16 décembre 1921

 

Le Président A. Millerand à Blida

 

en 1922

 

Le 11 juin 1921

Le Maréchal Franchet Despérey

Le 1 octobre 1921

Le Roi des Belges

Gaston Doumergue

18/05/1930

Une simple halte à la gare

 CHARLES MAURRAS  le 2 décembre 1938

Pierre VANECK  (15/4/1931-)

Pour une représentation du CID  au Capitole  en 1955

 

 
Vous souvenez vous du "Cid" qui avait été donné au Capitole par une troupe de France avec en vedette Pierre Vaneck dans le rôle de Rodrigue ? Il était magnifique (il a encore de l'allure) et nous avions (nous les filles) pour lui les yeux de Chimène .

Pierre Vaneck avait vécu quelques années d'enfance à Blida . Son père ,colonel de son état avait le commandement  des chantiers de jeunesse

Paule S. .

Catherine Sellers interprétait Chimène.

J'étais en 5ème, Mlle Costantini nous avait admirablement préparées à la pièce ,c'était certainement ma première pièce de théatre, ( au Capitol ). Quel souvenir!

Le Cid est-il encore joué dans cette version si classique? Les jeunes connaissent-ils cette oeuvre?

Michèle S.

Jean Claude BRIALY

Ma mère aima immédiatement le climat et la vie en Algérie. Ici, les odeurs étaient très particulières: ce mélange de parfums, d'huile d'olive, d etomate, de mandarine, d'orange et d'épices, cette poussière sur les routes qui n'étaient pas goudronnées; partout il y avait cette tièdeur un peu moite qui encourageait naturellement notre paresse. La vie était facile, l'endroit privilégié, ce fut une période heureuse......

...Mon père, promu capitaine, fut ensuite nommé à Blida, surnommée "La petite rose" à cause de ses jardins. Nous habitions une maison dans la cité Combredé. Les jolis villas à un étage, toutes construites sur le même modèle,  possaidaient chacune un petit jardin de roses, une cour, une buanderie et un grand garage.........

Le dimanche, à Blida, notre mère nous emmenait à la messe. Je ne comprenais pas très bien le cérémonial, mais j'aimais le spectacle des bougies, de l'encens, la mise en scène du prêtre et des enfants de choeur, les chants en latin.

Le Ruisseau des Singes